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FESTIVAL DES PETITES FORMES

  • Photo du rédacteur: théâtre MARTINIQUE
    théâtre MARTINIQUE
  • 9 févr. 2016
  • 3 min de lecture

DU 19 AU 27 FÉV. 2016

TROPIQUES ATRIUM SCÈNE NATIONALE & TERRITOIRE


L'orchidée violée Tropiques Atrium théâtre MARTINIQUE

► L’Orchidée violée de Bernard G. Lagier

Quelque part dans une cité populaire une femme est seule, enfermée dans son appartement face à un miroir. Une question se pose à elle, en ce jour du quinzième anniversaire de son fils : doit-elle tuer ce fils qui est responsable des maltraitances qu’elle subit après avoir été la cause d’un passé plein de souffrances? Doit-elle le livrer à la mère patrie? Quels liens unissent la mère de famille et la mère patrie dans cette détresse ? Ce texte est un voyage dans l’inconscient et le conscient, dans la souffrance d’une femme qui a bien les contours d’un pays en questionnement.

Avec Astrid Mercier,

mise en scène d'Hassane Kassi Kouyaté, assistante à la mise en scène Françoise Dô.

► 4 Heures du Matin d'Ernest J. Gaines

Un jeune Noir a tué et se retrouve en prison. Jouera-t-il le jeu de l’homme blanc qui le libérera pour mieux le briser et l’asservir ? Figure du « roman du Sud », Ernest J. Gaines, né en 1932 en Louisiane, traite sans complaisance des difficultés du personnage à se rendre compte des mécanismes de l’aliénation.

Avec Abdon Fortuné Koumbha Fak,

mise en scène Par Hassane Kassi Kouayté.

4 Heures du matin théâtre MARTINIQUE

► L'Homme qui plantait des arbres de Jean Giono

Au cours d’une randonnée dans cette très vieille région des Alpes qui pénètre en Provence, le narrateur rencontre un jour un vieux berger paisible qui plante des arbres. Au fil des ans, le vieil homme réalise son rêve : la lande aride et désolée devient une terre pleine de vie… « Quand on se souvenait que tout était sorti des mains et de l’âme de cet homme -sans moyens techniques- on comprenait que les hommes pourraient être aussi efficaces que Dieu, dans d’autres domaines que la destruction ».

Avec Pascal Durozier (et la complicité de Guy Pierre Couleau).

Pascal Durozier L'homme qui plantait des arbres théâtre MARTINIQUE

► La Danse du Diable de Philippe Caubère

La danse du diable Tropiques Atrium théâtre MARTINIQUE

La Danse du Diable raconte autant qu’elle évoque, car c’est un spectacle comique et fantastique, c’est à dire poétique, l’enfance et l’adolescence d’un enfant du pays provençal, Ferdinand Faure, dans les années 50 à 70. C’est surtout le portrait de Claudine Gautier (« nom de jeune fille ! »), mère de l’auteur et de son double imaginaire, qui mène tout le monde, le récit et la représentation elle-même, à un train d’enfer sous sa férule impitoyable et son bagout intarissable… On verra aussi que cette logorrhée joyeuse n’était que la course à perdre haleine contre le seul adversaire qui finit par toujours gagner: la mort !

► La Danse du diable, reportage à la création en 1981

► Philippe Caubère sur France 3

► Le Bac 68 de Philippe Caubère

Le Bac 68 est l’adaptation d’un épisode de L’Homme qui danse. Ce spectacle aura pour première ambition de raconter aux jeunes gens d’aujourd’hui comment leurs parents ont passé le bac en mai 1968. Il a aussi comme intérêt de faire revivre en direct par les personnages clefs de La Danse du Diable, la montée et l’arrivée au sein d’une banale famille française de ces évènements historiques qui ont bouleversé la société occidentale. Car les choses n’ont plus jamais été après ce qu’elles étaient avant. En ces temps de révisionnisme général, il me semble que rappeler ceci, tient presque du devoir civique et républicain…! Le but restant, bien sûr, d’abord et malgré tout, de faire rire petits et grands.

lE BAC 68 Tropiques Atrium Théâtre MARTINIQUE

► Lectures:

Le Patron d’Alfred Alexandre

Alfred Alexandre est né en 1970 à Fort-de-France. Il suit des études de philosophie à Paris pour revenir en Martinique comme professeur de philosophie et chargé de cours à l’université des Antilles et de la Guyane. Révélé en 2005 par Bord de canal, qui reçoit en 2006 le Prix des Amériques insulaires et de la Guyane, il écrit en 2007 sa première pièce de théâtre, La Nuit caribéenne, qui est saluée par Etc_Caraïbe et jouée. En 2011, il renoue avec le roman Les villes assassines, qui clôture sa trilogie consacrée aux marges de la ville de Fort-de-France. Le Patron est un texte théâtral inédit écrit en 2009. Prix Etc_Caraïbe SACD Beaumarchais 2015.

Le Chant de Georges Boivin de Martin Bellemare

Diplômé du programme d’écriture dramatique de l’Ecole nationale de théâtre du Canada, Martin Bellemare est l’auteur d’une dizaine de pièces dont Le Chant de Georges Boivin (Prix Gratien-Gélinas 2009, Dramaturges Editeurs 2011). Il participe à différents collectifs d’auteurs (Cabaret au Bazar, Contes Arbour, Contes Urbains 2013) et animedes ateliers d’écriture et de médiation culturelle. Ses pièces ont été jouées ou lues au Québec, en France et en Allemagne : Maison-Théâtre à Montréal, Théâtre Les Gros Becs (Québec), Festival Primeurs de Sarrebruck, Festival International des arts de la marionnette à Saguenay, Festival Phenomena à l’Usine C,...

 
 
 

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