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BOBO 1ER ROI DE PERSONNE

  • Photo du rédacteur: théâtre MARTINIQUE
    théâtre MARTINIQUE
  • 18 mars 2016
  • 2 min de lecture

MAR. 22 MARS 2016 20H

TROPIQUES ATRIUM SCÈNE NATIONALE

JEU. 24 MARS 2016 19H

DOMAINE DE FONDS ST-JACQUES

STE MARIE

Bobo n’est le roi de personne. Il règne sur un peuple imaginaire et se balade entre deux âges, deux mondes en se fabriquant une identité faite de bric et de broc. Seul en scène il attend et alors tout y passe : son amour, ses amis, ses emmerdes, la politique, la société…

Entre ses SMS rigolos ou doux-amers et ses chansons qui réveillent colère et tendresse Bobo nous invite à redécouvrir la grâce et le burlesque de ces âmes trop souvent méprisées et qui portent en elles, si on les écoute bien, un chant très beau et profond. Le bougre n’est le roi de personne mais appelez-le Bobo, ça lui va et ça sonne ! Un cabaret barré et baroque où se mêlent le rire et l’émotion, la parole et le chant. Un texte à la fois poétique et politique qui raconte autrement la Guadeloupe.

Frantz Succab – 1947 Journaliste, auteur, parolier et dramaturge né en Guadeloupe, il est d’une génération d’auteurs qui considèrent l’écriture comme un outil de combat. Ses premiers écrits sont des articles militants et des poèmes en créole mais il entreprend peu à peu une démarche plus personnelle et libertaire… Il signe ici sa 6e pièce.

► Guillaume Clayssen, metteur en scène

De Frantz Succab

Avec : Patrick Womba

Mise en scène : Guillaume Clayssen

Assistant à la mise en scène : Harry Baltus

Scénographie : Marielle Plaisir

Musique originale : Frantz Succab

Composition : Patrick Womba

Avec la complicité de Guy-Pierre Couleau

Costumes : Patrick Cassin (Cassking)

Lumières : Jacky Marcel

Production : L’Artchipel scène nationale de Guadeloupe dans le cadre de son projet Mythologies actuelles de Guadeloupe /14•15 Mythologies politiques – Résidence de création en février 2015

Coproduction : Comédie de l’Est, Etc_ caraïbe

Avec l’aide de : DAC Martinique

© crédit photo : Nicolas Yssap

© crédit photo : Philippe Virapin

 
 
 

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